Cisterciennes de la Fille-Dieu
L'hospitalité selon saint Benoît
Les Moniales continuent la belle tradition bénédictine et cistercienne de l'hospitalité selon saint Benoît :
On recevra comme le Christ Lui-même
tous les hôtes qui surviennent
car Lui-même dira un jour :
"J'ai demandé l'hospitalité
et vous m'avez reçu."
Règle de St Benoît ch. 53
Le monastère offre un espace de silence habité par la présence de Dieu, où le coeur s'ouvre à l'écoute de la Parole de Dieu, à la méditation, à la prière, réponse d'amour à Celui qui te cherche avant que tu ne Le cherches.

Moutardes et sauces
La moutarde est fabriquée selon une recette à l'ancienne, avec des produits naturels et sans émulsifiant.
Hosties
Depuis un siècle, par la fabrication de ce pain d’autel, les Moniales de la Fille-Dieu assurent une partie de leur subsistance et participent ainsi à l’œuvre eucharistique du Christ.
Commander des hosties: https://fille-dieu.ch/magasin-monastique/hosties/achat-hosties
Notre maison d’accueil étant très petite, nous privilégions les pèlerins munis d’une crédentiale.
Merci de vous annonce la veille ou le matin avant 11h sous ce numéro de téléphone
Et surtout de vous présenter à l’accueil avant 17h.
Sainte Marguerite Bays, cette femme de chez nous naît le 8 septembre 1815, à la Pierra, commune de Chavannes-les-Forts, paroisse de Siviriez, dans le district de la Glâne.
Elle est miraculeusement guérie d’un cancer aux intestins le 8 décembre 1854, jour de la proclamation du dogme de l’Immaculée Conception.
Admise dans le Tiers-Ordre de Saint François d’Assise le 22 février 1860, elle fait profession l’année suivante en l’église des Capucins de Romont.
A la demande de Mère Lutgarde Ménétrey qui est sa filleule, Monseigneur Marilley, l’évêque du diocèse, donne à Marguerite Bays, qu’il connaît bien, l’autorisation d’entrer en clôture lorsqu’elle vient en notre monastère pour participer à la retraite annuelle des moniales.
Bienheureuse Marguerite Bays renouvelle ses forces et trouve sa joie de vivre dans l’Eucharistie, dans la lecture de l’Evangile et la méditation des mystères du Christ, particulièrement celui de la Passion. Elle est stigmatisée pendant 19 ans.
Elle meurt à la Pierraz le vendredi 27 juin 1879, à 15h, vendredi de l’Octave du Sacré-Cœur.
Elle est béatifiée le 29 octobre 1995 par le pape Jean-Paul II.
Sa canonisation est célébrée à Rome le 13 octobre 2019.
